Patrice LE THIEC
Psychologue Clinicien
QUI SUIS-JE ?
Je m’appelle Patrice LE THIEC et je suis Psychologue Clinicien et Psychothérapeute spécialisé dans les prises en charge des traumatismes et Praticien en Thérapie Manuelle Ostéopathique et en Médecines Holistiques.
Un chemin de traverse au-delà des horizons de la psychologie
MON CHEMIN VERS LA PSYCHOLOGIE
Mon premier domaine d'étude était la Philosophie.
Et, c'est parce qu'un jour j'ai oublié d'aller à un examen que la vie m'a emmené vers la psychologie.
Il me manquait un module pour terminer ma Licence de philosophie, mais je devais partir faire mon service militaire obligatoire. J'ai fait une objection de conscience, car je ne me voyais pas enfermé dans une caserne pendant 1 an. J'ai pu alors passer deux ans au sein d’une compagnie théâtrale.
Lorsque j'ai voulu terminer mes études deux ans plus tard, me replonger dans la philosophie était devenu compliqué, comme si la Vie m'appelait ailleurs.
Et c'est comme cela que j'ai pu expérimenter un module de psychologie.
La Vie m'a appelé à poursuivre et...
Je suis devenu Psychologue Clinicien mais je ne me suis pas arrêté là !
DE L’OSTÉOPATHIE A LA PSYCHOLOGIE
Comment peut-on devenir psychologue et s’intéresser aussi au corps, à sa structure, ses organes, ses viscères et même au crânien ?
Je m’étais inscrit, pendant mes études à la Fac, dans une école qui formait au Focusing, une approche créée par Eugène Gendlin, un élève de Carl Rogers.
Les bases de cette approche reposaient sur le “ressenti corporel”.
Peu de temps après, je fais la rencontre d’un Ostéopathe qui me montre une plaquette où est proposé un cursus en approche manuelle. C’était une formation en Ostéopathie avec une orientation viscérale et crânienne couplée à une approche en Médecine Traditionnelle Chinoise.
Je savais que je devais y aller, même si je ne comprenais absolument rien à cette formation.
Alors qu’elle ne fut pas mon étonnement lorsque je me suis retrouvé à expérimenter plusieurs façons de remettre une vertèbre en place ou aller plonger dans les viscères pour y décoller quelques adhérences.
Et, je me suis rendu compte que cela ne me posait, absolument, aucun problème.
“Ils ne savaient pas que c’était impossible, alors ils l’ont fait”
Mark Twain
Voilà comment je suis devenu un psychologue qui pouvait aussi agir au niveau de la structure du corps.
Si l’on n’inclut pas ces deux dimensions, comment espérer qu’une structure du corps habituée à rester dans une lésion depuis des années puisse se libérer en un clin d’œil ?
Les structures se tiennent l’une, l’autre.
Voilà pourquoi on peut tourner en rond sans jamais trouver de solutions à un blocage. Le corps garde en mémoire les informations et si l’on ne se connecte pas à la source qui a créé le blocage, comment en sortir ?
Cependant ici, la solution à ce problème n’est pas technique, mais bien psychologique ou, plus précisément, d’état d’esprit.
Seul notre état d’esprit peut changer notre réalité.
MA PREMIÈRE THÉRAPIE
Comment un psychologue a-t-il commencé son travail personnel sur lui-même ?
En faisant une psychothérapie ? Cela aurait été logique, mais non ce ne fut pas mon cas.
J’ai commencé mon cheminement personnel en apprenant à Rêver !
Un voyage intérieur ou chamanique”.
Le rêve ou internet
Oui, ma première thérapie, je l’ai effectuée en me connectant, non pas sur internet (qui n’était pas démocratisé à l’époque), mais en me connectant sur le réseau parallèle de la conscience, celui du RÊVE.
Et on y retrouve les mêmes principes que sur le web : on peut avoir accès à tout, il faut juste savoir se connecter aux bons sites : ceux avec un état d’esprit positif et constructif (ceux du bon Mindset).
Il y a aussi des règles à respecter et à suivre pour ne pas se perdre dans les limbes de la conscience et de l’inconscience. C’est là justement ce qui se passe pour les psychotiques ! Ils ont une connexion ouverte en permanence sans pouvoir faire de pause ou l’arrêter.
Oui, ça devient vite le bazar surtout avec l’impossibilité de pouvoir dire stop.
Mais alors est-ce que cela veut dire que l’on peut apprendre à rêver d’une bonne façon ?
Effectivement !
On peut apprendre à rêver !
Et, c’est bien l’une des raisons qui motive mon travail :
Vous montrer comment faire et vous accompagner sur ces “chemins de traverses” vers la connaissance de soi.
Mais alors concrètement cela consiste en quoi ?
Lors de mon parcours chamanique, l’une des premières choses que j’ai découvertes c’est le contact avec mon animal totem.
LA RENCONTRE AVEC SON ANIMAL TOTEM
C’est la première clef qui nous conduit vers la connaissance de soi.
Cela nous offre la possibilité d’avoir une image de soi à atteindre et à transformer en conscience.
À travers la rencontre d’une représentation de soi, nous avons la possibilité de nous voir avec nos forces, nos qualités, mais aussi nos défauts et nos limites à transformer et à dépasser.
Cela nous offre la possibilité de commencer à travailler très concrètement sur soi.
C’est ce qui s’est passé pour moi, et c’est un point sur lequel j’accompagne aujourd’hui de nombreuses personnes.
Mais comment cette histoire a-t-elle commencé ?
Par une rencontre bien sûr !
Nous étions trois amis en fac de philo à partager cette passion pour cette “réalité parallèle”. Ce monde symbolique de l’inconscient collectif, pour faire référence à Carl Gustav Jung et sa notion d’archétype.
Nous étions des passionnés de mythologies, de l’histoire des religions, de symbolique et du monde du sacré en général. Alors, naturellement nous sommes allés vers l’expérimentation de ces “chemins de traverse” (pour le clin d’œil).
Alors, j’ai commencé mon travail sur moi à ce moment-là, bien avant d’être dans une démarche en psychologie. J’étais même bien loin d’imaginer prendre un jour cette voie.
Je lisais à l’époque les ouvrages d’un des pionniers en France sur le chamanisme, Mario MERCIER ou alors le classique des classiques en la matière, Carlos CASTANEDA.
Et pour tout vous révéler, j’habitais non loin de la légendaire forêt de Brocéliande, alors inutile de vous dire que j’ai, à l’époque, “séché” quelques cours de philo pour partir rencontrer le monde de Merlin !
Et là, vous venez de découvrir la deuxième rencontre importante sur mon chemin : Merlin.
LE TRAVAIL SUR L’ARCHÉTYPE
En fonction de notre histoire personnelle, nous rencontrons dans notre monde intérieur les archétypes et les Identifications Symboliques qui vont pouvoir nous apporter ce qui nous manque le plus.
Merlin fut pour moi (vers mes 20–22 ans) une image paternelle qui venait combler une blessure et le manque d’un père qui n’a jamais voulu me reconnaître.
Un père que j’ai voulu retrouver (à 36 ans), mais qui m’a fermé la porte et avec elle, cette reconnaissance paternelle.
Il est mort quelques années après, et cette fois, c’est moi qui ai fermé la boucle en allant à son enterrement. Pour enfin faire la paix dans mon cœur.
Il n’a pas voulu m’accepter vivant auprès de lui, alors je ne voulais pas à mon tour continuer dans le déni et la colère en le rejetant.
Étrangement, il est mort le jour de mon anniversaire !
C’était important pour moi de faire ce geste : être là et réparer ce qui ne pouvait pas être fait avant, par moi seul. Là c’était à mon tour de pouvoir AGIR, et la vie m’a permis de le faire.
Pourtant, je vivais à 10 000 km de lui, et comme par hasard (mais, vous le savez maintenant, je ne crois pas au hasard)* j’étais en train d’animer une session de formation à quelques kilomètres de chez lui. Alors, j’ai pu aménager ma journée de formation, avec tout le soutien bienveillant du groupe que je remercie du fond du cœur par ces mots.
Il y a une chose importante, c’est que le fait d’en parler et d’en faire témoignage est pour moi une source de grande joie et de gratitude envers la Vie.
Ce fut un moment charnière, avec la sensation de pouvoir enfin récupérer une partie de moi à laquelle je n’avais pas pu avoir accès, une part de l’Homme que je suis.
Mais, avant de pouvoir récupérer cette partie de moi, il fallait bien vivre ou sur-vivre et la Présence de Merlin fut pour moi comme un guide vers l'homme que je suis devenu.
* cf. « Le hasard n’existe pas » de K.O. SCHMIDT
Un phare toujours présent, surtout lorsque les eaux des émotions étaient troublées et déchaînées.
Au cœur de la tempête, je pouvais toujours apercevoir Sa Lumière et je savais que malgré les difficultés, je pouvais continuer à avancer et avoir confiance.
N’est-ce pas à cela que peut servir l’image paternelle ?
Je voulais vous témoigner de la réalité et de la portée que cette exploration dans le monde de l’imaginaire peut avoir comme sens et importance dans notre vie.
Tout ce travail sur moi, je l’ai appris non pas dans les livres ou à l’école, ni en psychothérapie, mais par l’enseignement de la Vie.
Alors il serait pour moi mal venu de ne transmettre que des approches et des techniques de psychologie, sans apporter toute la richesse et la profondeur des enseignements de la Vie.
Des enseignements qui ont traversé les âges et qui ont été transmis par des initiées de tout temps, au travers de nombreux prismes.
Je ne pourrais pas énumérer toutes les sources de sagesses existantes, mais je propose lors de mes formations d’aller approfondir certains de ces enseignements qui m’ont été donnés de rencontrer et de pratiquer.
LES SOURCES DE MA PRATIQUE HOLISTIQUE
En parlant de ma pratique dans ces enseignements traditionnels, je vais tout de même vous donner quelques pistes :
- Le chamanisme dans la tradition Lakota (sioux) et Quechua (Équateur) avec la pratique de la hutte à sudation (cérémonie inipi), entre autres.
- La médecine traditionnelle chinoise et taoïste avec la digipuncture, la moxibustion et les exercices internes taoïstes.
- Les enseignements de l'Hermétisme (la sagesse d’Hermès) et ceux du Bouddhisme Tibétain.
- Tous les apports en pratiques énergétiques.
- Toutes les sources symboliques des cultures et religions du monde qui forment toutes, dans leur ensemble, un immense réservoir de ressources dans lequel nous pouvons puiser Inspiration (Aspiration) et Force.
Voilà pour un petit tour d’horizon de ma pratique, en espérant que vous comprendrez mieux mon objectif et ma raison d’Agir sur ce chemin de partage auquel je vous propose de participer.
Je ne pouvais pas rester que psychologue, puisque “je suis plus que cela…”, plus qu'une identité personnelle et une étiquette professionnelle.
Et je pense très sincèrement que la Psychologie a plus que besoin de s’ouvrir vers de nouveaux horizons dans sa pratique et sa façon de penser.
MON CHEMIN VERS L'ÉCOLE DE CONSCIENCE
Je n'aurais jamais imaginé que tout ce cheminement m'amènerait à travailler sur la Conscience.
Pourtant, je n'ai fait que répondre à un besoin et surtout à un appel.
Depuis le commencement de mon parcours de formateur, j'ai ressenti un désir très fort de proposer une approche nouvelle de la relation d'aide. Comme l'appel était persistant, j'ai commencé par proposer une approche sur la "Libération des Mémoires".
Concernant l'École de Conscience, cela s’est finalement passé de la même manière, sans que je ne le réalise immédiatement.
Un de mes élèves de la Formation de Thérapeute m'avait dit, il y a de cela plusieurs années déjà, que ma formation de thérapeute n’était pas en réalité une École de Thérapeute, mais une École de Conscience. Sur le coup, je n'y ai pas prêté attention, voire, j’ai trouvé cela invraisemblable.
Et pourtant...
C'est en remodelant ma formation de Thérapeute pour qu’elle soit plus facilement accessible et pratique que j'ai mis en place trois cycles différents d'apprentissage sur :
La Psychologie,
L'Ostéopathie
L'Intuition.
Ce choix d'extraire l'Intuition m’a paru pourtant étrange, mais c'est lors de ces sessions que j'ai découvert sa réelle utilité.
Au-delà du travail indispensable de devoir développer son intuition pour accompagner au mieux une personne, j'ai compris qu'il y aurait une suite à ce cycle sur l'intuition.
J'avais pensé au départ à un travail plus spécifique sur la spiritualité, mais cela a finalement pris la dimension d'une École de Conscience.
Et c'est en me retrouvant au Portugal que la porte s'est ouverte. C'est comme si ma mémoire s'ouvrait vers une nouvelle dimension et m'obligeait à voir, à prendre conscience, qu'une partie en moi m'appelait tellement fort que je ne pouvais plus la mettre de côté.
Cette prise de conscience fut confirmée par ma rencontre avec un immense Cromlech dans le sud du Portugal. Il m'a été donné la possibilité de comprendre l'utilité extraordinaire de ce site ancestral. Il avait été construit pour représenter et manifester toutes les étapes et les initiations humaines de la conscience vers le Sacré.
Ce fut un vrai choc.
Je sais, depuis longtemps déjà, que lorsque l'on me montre quelque chose, ce n'est pas pour moi. D'ailleurs, quelle utilité cela pourrait bien avoir à ce que je le sache, juste pour savoir ?
J'ai su tout de suite que j'emmènerais d'autres personnes en ce lieu pour faire revivre ce chemin initiatique et permettre à davantage de personnes d'avancer plus rapidement sur leur chemin.
J'ai réalisé enfin que depuis le début de mon apprentissage personnel, depuis mes premiers voyages chamaniques, tout était destiné à me rendre capable d'accompagner des personnes sur leur chemin personnel.
L'étape d'accompagnement psychothérapeutique est indispensable et nécessaire, mais c'est comme s'il y avait un autre chemin au-delà, celui de la Conscience.
Voilà le commencement de cette nouvelle histoire...
C'est la vôtre, car elle n'est pas pour moi.
Le groupe qui composera cette école en fera sa particularité et s'autorisera aussi à avancer ensemble.
Le seul point important qui se dégage de tout mon parcours est ceci :